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Une plongée dans le Japon ancien

Publié aux éditions Fides en 2020, le premier tome de SHINOBI La naissance d’un ninja relate l’histoire de Fujiwara no Chikada (Gamon Dōshi), le premier shinobi ayant ouvert une école officielle de ninjutsu, l’Iga Ryū.

 

Commandant en chef de la défense du Nord, ce guerrier intrépide se voit refuser le titre qu’il convoite auprès de l’empereur Go-Reizei. Sa révolte l’entraîne dans les montagnes d’Iga où un général chinois l’initie à des techniques martiales. Soutenu par ses compagnons shinobi, il doit affronter les attaques répétées des troupes de l’empereur.

 

Ce roman historique nous plonge dans le Japon du milieu du XIe siècle. À l’apogée de la période de Heian, la cour connaissait un des plus remarquables épanouissements artistiques et littéraires de son histoire. Entourés de richesses, les nobles multipliaient cérémonies et concours de poésie. Loin de la capitale, les paysans vivaient dans la pauvreté. Dans son mouvement de rébellion, Fujiwara no Chikada s’est allié aux ninjas, les shinobi, guerriers de l’ombre qui s’entraînaient pour défendre leur famille et leur village face aux injustices et aux abus des pouvoirs en place.

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Fruit d’une recherche considérable, SHINOBI La naissance d’un ninja, paru aux éditions Fides, se déploie dans une atmosphère exotique où se côtoient rites ancestraux et tradition martiale. Pour rédiger ce roman historique, j’ai exploré une volumineuse documentation, notamment en ce qui a trait à la vie et aux coutumes de l’époque.

J’ai consulté des œuvres, dont les ouvrages de Francine Hérail, qui m’ont permis de reproduire le plus fidèlement possible la cour de Heian. Je me suis appuyée sur la lecture de nombreux livres écrits sur le ninjutsu et sur les shinobi, particulièrement ceux de sōke Masaaki Hatsumi, le grand maître que j’ai interviewé à plusieurs reprises.

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Mes trente-cinq années de pratique du ninjutsu m’ont également aidée à décrire les techniques enseignées dans SHINOBI La naissance d’un ninja

En plus de suivre des cours avec Bernard Grégoire au dojo Bujinkan Québec, je me suis rendue au Japon chaque année pendant vingt ans pour des formations avec sōke Masaaki Hatsumi et ses assistants japonais.

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Une partie de SHINOBI a été écrite au japon. Je m'installais à la terrasse d'un café et, tout en savourant mon tchaÏ latté, je rédigeais quelques pages.

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Ce roman historique découle de l’étroite association entre mon amour de l’écriture et ma passion pour les arts martiaux.

L’idée d’écrire Shinobi m’est venue en suivant un séminaire sur le roman historique, dans le cadre de mes études de doctorat. J’ai choisi de présenter le personnage qui fut à l’origine de l’art martial que je pratique. En remontant les lignées des 9 ryū, ou écoles, qui constituent le Bujinkan, j’ai découvert celui qui a fondé la première école, l’Iga Ryū: Fujiwara no Chikada, qui en a été le sōke, ou maître, de 1065 à 1068.

Je vous invite à lire SHINOBI La naissance d’un ninja. Le premier tome de cette saga historique vous entraîne sur les traces de Fujiwara no Chikada, alors qu’il fuit la capitale pour se réfugier dans les montagnes d’Iga où il devient un shinobi.

 

Un roman exceptionnel qui lève le voile sur l’existence des ninjas et où la bravoure, la justice et la loyauté se font échos d’une écriture fine et précise.

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Articles

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Recension de Roger Robitaille de Radio Passion
Etchemin: (diffusé le 8 décembre)


« SHINOBI »
La naissance d’un ninja  de Francine Tremblay.  Editions Fides.

Voici un roman qui nous transporte au Japon, au milieu du XI siècle. Le monde des ninja, les shinobi, des guerriers de l’ombre peu nombreux considérés comme violents dans un monde de raffinement. Des guerriers qui s’entrainent pour défendre leur famille et leur village face aux injustices et aux abus de pouvoir. C’est avant tout l’histoire de Fijiwara no Chikida qui s’initie dans les montagnes aux techniques martiales. Soutenu par ses compagnons, il doit affronter les attaques répétées des troupes de l’empereur. Un roman historique qui lève le voile sur la naissance des ninjas. L’auteure pratique le Ninjutsu depuis 1987 et se rend toujours au Japon régulièrement. Un roman qui garantit le dépaysement.

Commentaires

Le livre est magnifique! bravo et j’ai hâte de le lire. Pour le moment, c’est mon fils aîné qui l’a déjà lu et qui a adoré. 

Je vais m’y mettre bientôt, mais il faut que je me dépêche, 

car l’une de mes filles qui pratique beaucoup l’aikidô va certainement me le chiper elle aussi.

Je ne manquerai pas d’en faire la publicité autour de moi.

 

Bien amicalement,

Nicolas

Bonjour Francine, 

 

Je n’ai pu aller à la séance de dédicace, mais je suis plongée dans ton livre que je me suis procuré chez La Liberté. J’apprends tellement de choses et je suis pris par l’intrigue, je vois qu’il a d’autres tomes à venir. C’est un monde et une culture que je découvre. J’ai aimé lire sur le web tout ce qui te concerne, tes voyages au Japon, ta formation dans les arts martiaux. Je me rappelle le bonheur d’avoir participé à tes cours.

 

Madeleine Gagné

Bonjour Francine, 

 

Suite à la lecture de Shinobi -tome 1 -la naissance d’un ninja, voici quelques-uns de mes humbles commentaires.

 

Tout un livre que tu as écrit !

 

Je ne m’attendais pas du tout à faire ce genre de lecture, mais je trouve que c’est un défi de sortir parfois de sa zone de confort. Comme pour la musique, j’aime explorer de nouveaux horizons. Grâce à toi, je verrai désormais les éléments, le cycle de génération et celui de destruction d’une façon différente. J’en ai appris beaucoup. 

 

Ton roman m’a plongé dans le bain (jusqu’au cou) d’un univers complètement nouveau, en plus de raconter une histoire qui se passe à une autre époque. Tout un « choc des cultures » … L’aridité d’un vocabulaire de l’autre bout du monde y était pour beaucoup. En lisant ton livre, je peux ajouter que j’ai eu un cours accéléré de japonais (je lis tout, même ON HI RO TA KI SHA…), de stratégie militaire, d’arts martiaux, de survie en forêt, et j’en passe, en quelques jours. Au bout d’une soixantaine de pages, je me suis senti plus zen. Peut-être que l’action prenait un nouveau départ et je pouvais enfin m’imprégner d’un nouveau moi qui s’absorbait du Chikada en devenir d’un Shinobi. Ouf ! Il faut ce qu’il faut.

 

Les premières pages m’ont paru lourdes avant de m’habituer au style à cause du vocabulaire japonais. Au départ, les noms des différentes portes que franchit Fujiwara no Chikada se multiplient, ce qui alourdit et brise le rythme de la lecture. J’aurais aimé savoir tout de suite que l’histoire se déroulait au Japon même si je m’en doutais parce que je te connais et que j’avais lu la quatrième de couverture. Pour un profane du monde asiatique comme moi, je me suis quelquefois questionné à savoir si l’action se déroulait en Chine ou au Japon puisque tu fais souvent référence à la Chine : ex. : Ikaï, ancien général chinois, certains produits chinois, coutumes ou rites qui venaient aussi de là. J’étais un peu écarté. Cependant, tu as fourni tous les outils nécessaires pour qu’on puisse bien suivre l’histoire avec un lexique détaillé et bien d’autres précisions comme des plans du daidari ou du dairi, ce qui découle à mon humble avis, d’un travail titanesque et qui fait sans aucun doute de ton livre un trésor sur l’histoire japonaise. 

 

Je ne voudrais pas oublier d’appuyer sur l’aspect de la précision. Sans être un expert, j’ai nettement l’impression qu’il s’agit d’un chef-d’œuvre puisqu’on sent le souci du détail. Tout au long de ma lecture, je savais que j’avais affaire à une auteure qui n’avait pas calculé son temps pour dire le vrai et ça donne beaucoup de crédibilité historique à ce roman. 

 

Francine, j’ai lu ton livre avec beaucoup d’intérêt et je veux te dire un GROS BRAVO. Je n’en attendais pas moins de toi, une personne adepte du ninjutsu et disciplinée. Selon ma grille personnelle d’appréciation d’un livre, je te donne la cote A3. 

Écriture = A : Excellent : fluidité de l’écriture, précision des mots et des descriptions, bonne connaissance du sujet et des lieux, basé sur des recherches sérieuses avec souci du détail, références solides, métaphores, expressions, jeux de mots, ponctuation, etc.

Histoire = 3 : Bon : je pense que la cote de l’histoire ou des intrigues pourra s’améliorer dans les autres tomes. Je souhaite que Chikada devienne plus humain malgré son côté de super héros. A-t-il un cœur d’homme ou est-ce une sorte de robot ? Tombera-t-il amoureux ? etc.

 

J’ai lu ton livre sur ma nouvelle liseuse Kobo. J’aime bien cet instrument qui me permet de toujours avoir un livre à portée de la main, même quand je suis dans une cache à la chasse, où d’année en année, je lis pas mal de livres. Attendre le gibier, c’est souvent long… 

 

J’ai noté l’abondance des virgules, surtout dans les premiers chapitres, certainement la façon moderne d’écrire. Pour autant, et malgré la multitude de références en japonais, ton écriture reste fluide quand on a franchi le pas de la langue. 

 

Francine, encore un GROS BRAVO pour ton roman. Je te souhaite beaucoup de succès. J’espère que tu as le projet de le traduire ou de le faire traduire en japonais.  

 

Sayônara

Pierre Lemay

Bonjour, madame Tremblay,

D’abord, j’avoue que vos recherches m’impressionnent. Par exemple, l’annexe 2, traitant des années, mois, saisons, jours et heures, p. 289 à 296, mérite une lecture attentive afin de saisir toutes les nuances de l’esprit des Japonais. Félicitations pour votre courage ! 

En terminant, recevez, Madame, mes salutations distinguées.

Raymonde Labbé

Mme Tremblay,

Vous avez été surprise quand je vous ai mentionné (jeudi) que j’avais « déjà » terminé la lecture de votre livre. J’ai cru lire en sourdine que l’auteur en vous découvrait combien il était « trop rapide » de consommer une œuvre dont la production avait réclamé autant de labeurs. Si cela est vrai, je partage votre pensée même si je ne peux pas en connaître l’intensité. (Sinon, je m’excuse de vous prêter cette réflexion).

En effet, un auteur buche pendant des années (dans votre cas, c’est assez évident) pour écrire son œuvre alors que les lecteurs affichent leur fierté de l’avoir avalé d’un trait ! Puis-je me permettre, à ma défense, que nous serons des centaines (j’espère, des milliers) à additionner nos temps de lecture et que le total confortera votre satisfaction d’avoir réalisé un tel exploit. En tout cas, vous le mériteriez.

Je partage avec vous ce que m’a inspiré ce premier tome (même si cela me gêne).

J’ai ressenti un emballement progressif en lisant les longs préparatifs du héros vers sa mission, celle à laquelle il nous convie implicitement et que l’autrice, on l’anticipe, déploiera dans les 3 prochains tomes. Je suis encore étonné d’être resté si attentif aux nombreuses descriptions de mouvements d’arts martiaux (qui nourriront sûrement la suite). J’y ai peut-être ressenti la tension sous-jacente, celle qui habite l’attente de l’action et qui annonce l’intention du héros. Aurais-je ainsi deviné la montée de l’adrénaline dans les muscles et dans l’esprit du personnage principal ? En tout cas, c’est de ces côtés-là que je devine la grande force de ce premier tome. Tout en savourant ces descriptions, je les ai accueillies comme des préparatifs, comme les arômes prometteurs d’un repas attendu avec délectation. Je suis resté suspendu à une promesse, celle d’une émancipation, celle d’une mission vertueuse, celle d’un personnage géant, celle de prouesses physiques et intellectuelles, car tous ces éléments, le premier tome les installe, me semble-t-il, tels des fils conducteurs. Je me sens bellement insatisfait (tant que je n’aurai pas accès à la suite); et je suis hameçonné. La compétence de l’autrice à nous expliquer simplement les choses complexes, à raconter avec un tel respect cet épisode de l’histoire du Japon, à décrire et à animer l’action, à dévoiler l’intérieur humain, à distinguer les personnages et à susciter l’attente avec patience et progression est fascinante. Elle emporte le lecteur avec elle dans son admiration pour le héros, pour la culture shinobi et pour l’époque.

 Mme Tremblay, je vous remercie de m’offrir ces heures de plaisir, à l’esprit et au cœur.

 

Jean-Pierre

Bonjour Francine,

J'ai terminé la lecture du tome 1 de Shinobi. Une fois le dépaysement du début franchi (beaucoup de noms et des rituels inconnus de moi), j'ai apprécié la lecture et me suis attachée à l'histoire de Fugiwara no Chikida. Les passages qui concernent les entraînements offerts par le général Ikaï intéresseront sans doute davantage des personnes qui, comme toi, s'adonnent aux arts martiaux. Ceci dit, je suis impressionnée par la recherche sous-jacente, et les nombreuses annexes, fort utiles, en témoignent !! Je te dis bravo et merci. Au plaisir de connaître la suite!

Ginette Massé

Mme Tremblay

 

Je viens de terminer la lecture de votre roman : Shinobi, la naissance d’un ninja.

Je dois dire que j’ai eu quelques difficultés à entrer dans le vif du sujet. Le premier chapitre est assez rébarbatif avec la description des lieux et tous les noms japonais.

Les chapitres 2-3 et 4 m’ont tenu en haleine. C’est la partie du roman que j’ai le plus appréciée.

Ceux qui suivent offrent moins d’action mais ne sont pas sans intérêt.

 

Dans la première partie, j’ai noté quelques belles phrases.

Quelques maisons en torchis à toiture en paille s’éparpillaient à travers des rizières subdivisées par des chaussées de terre.

Pour glisser sous leur chapeau de bambou un regard neutre (p.55)

La végétation colorerait (p.36)

Ne dit-on pas qu’entrer dans un village, c’est s’y conformer (p.62)

Un pantalon brun troussé jusqu’aux reins (p.63)

Chikada sentait le découragement glisser sur son échine (p.64)

 

Et ce début du chapitre 4, j’ai trouvé l’introduction belle.

Un soleil puissant souleva les paupières de Chikada. Son corps éreinté prit quelques minutes à se dégourdir. Le chant des oiseaux retarda de quelques secondes le rappel des jours précédents

 

Au chapitre 5, un beau petit bijou :

Il se considérait parfois comme une vache ou une chèvre qui broute toutes les herbes. Pour lui, là où les rayons du soleil percent, l’herbe pousse. P.89-90

 

Les chapitres 6 à 13

m’ont permis d’en apprendre sur l’énergie avec le point chi, en autres.

Je n’avais aucune idée de l’importance qu’on accordait à cette époque, en Chine et au Japon, au soin du corps et à quel point on le connaissait. Comme quoi la guerre peut parfois servir à autre chose qu’à tuer.

Penser, par exemple, que manger de la viande occasionnait une odeur détectable…

 

Le yang représente le mouvement et le yin, le repos. L’un entraînant l’autre, mouvement et repos se succèdent. Le yang produit les transformations, les changements, et le yin. Les adaptations, les rapprochements. P.205

 

La personne qui avait contracté une souillure devait rester recluse chez elle, ne plus paraître en public et couper les relations directes avec les gens venus du dehors. Ces mesures étaient destinées à réduire au minimum la propagation de la souillure. P.206

 

Malheureusement, l’homme étant l’homme, les connaissances du passé sont souvent envoyées aux oubliettes. On se considère plus fin que la génération précédente. J’imagine aisément ce que l’homme pourrait réaliser, s’il soignait son corps et son esprit à la manière d’Ikaï.

Je comprends mieux, aussi, votre grande production, vous-même prenant soin de votre énergie.

Amitiés, Bernard

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Bonjour toi,

 

J’ai terminé la lecture de ton roman et quel plaisir j’ai eu à découvrir le parcours de Chikada. 

 

Heureusement que tu as ajouté un lexique à la fin, car je m’y suis souvent référée, de même que les plans et les cartes. La lecture des romans historiques nous amène à mieux comprendre les époques précédentes. Ce genre de lecture me procure toujours le bienfaisant sentiment de m’endormir plus intelligente que la veille.

 

Au début, j’avais craint de me sentir un peu submergée par les nombreux détails historiques et de perdre ainsi le fil de l’histoire, mais pas du tout. J’ai adoré tout du long. Maintenant, j’ai hâte que tu publies le second tome.

 

Étant donné que Bernard m’avait déjà fait lire ses propres récits sur Millepertuis avec les détails sur le Budo, etc. j’ai pu reconnaître certains concepts comme le «chi», le «hara».

 

Peut-être te souviens-tu que je t’ai déjà dit avoir pratiqué la danse dans ma jeunesse. Le fameux «chi» nous est enseigné très tôt dans cette discipline (bien qu’on ne le nomme pas ainsi, on nous parle simplement de notre centre de gravité) puisque tout l’équilibre du corps, l’alignement de ses membres, etc. passent par là. Bref, plusieurs notions relatives à l’apprentissage du ninja résonnaient en moi.

 

J’ai trouvé ton écriture ciselée, bien sûr, comme d’habitude. Le rythme est efficace aussi. Pas de temps mort. Ça coule, comme on dit.

 

J’ai bien aimé aussi le personnage du général Ikaï dans sa grotte, celui du jeune Tesshin et puis celui de Mikawa Bo avec toutes ses connaissances. C’était fascinant.

 

De plus, ton «bébé» est beau, bon et plaisant à tenir en main. Bravo! Le fruit de toutes ces années de labeur est juste merveilleux.

 

Merci pour ces purs moments de bonheur!

 

Tu mérites le succès à présent.

 

Tendresse et accolades!

 

Marie-Jeanne Gagné

Bonjour Francine,

Je vous écris un petit mot pour vous dire que j’ai terminé la lecture de votre roman. OUAH!!! Je n’ai jamais lu un roman où je constate une recherche aussi exhaustive. Que d’heures de recherches cela a dû vous prendre. Pour employer une expression de chez nous: c’est un vrai travail de moine!

J’ai bien aimé la lecture de votre oeuvre qui m’a fait découvrir un monde qui m’était totalement inconnu.

Toutes mes plus sincères félicitations pour ce merveilleux et laborieux travail.

Lina Potvin

Bonjour Francine,

 

Je lis présentement ton roman Shinobi. Tu as su rendre palpable la lourdeur du carcan des conventions sociales du Japon de cette époque. Et j'ai été très surprise d'apprendre que la Chine avait eu autant d'influence sur la façon de vivre des Japonais. Lorsque tu décris les exercices auxquels s'astreint Chikada, je ne peux m'empêcher de penser à toi, et de t'imaginer en train de suivre les consignes de ton maître. C'est un récit vivant, une histoire qui se lit très bien. Bonne continuation! 

 

Amicalement,

Sylvia

Bonjour, Francine.

 

Je viens de terminer la lecture de ton très beau roman Shinobi. Je l'ai vraiment apprécié. On plonge avec intérêt dans ce Japon des années 1000, car le roman coule de source, l'écriture est limpide.  On sent qu'il résulte de plusieurs années de recherche. Les annexes aident à bien faire comprendre. Le récit, en plus de mettre le personnage Chikada au premier plan, dévoile une philosophie de vie, des stratégies de guerre et des principes à mettre en pratique dans le quotidien de la vie. Je ne peux qu'attendre le tome 2 avec impatience. Je vais le faire lire à mon petit-fils de 16 ans; il est ceinture noire (taekwondo).  

 

Je réitère mes félicitations et te prie d'agréer mes salutations distinguées.

 

Françoise Martel

J’ai terminé la lecture de ton roman et je t’écris comme prévu pour te donner mes impressions.

J’ai vraiment un malaise Francine, j’aurais aimé pouvoir dire que j’ai embarqué dans l’histoire, mais malheureusement, je n’ai pas embarqué.

Si tu veux, on peut en parler, par téléconférence ou autre, pour plus de détails, mais disons que pour moi, ce qui a fait que je n’ai pas embarqué c’est qu’il y a trop de dialogues et pas assez de narration, trop d’explications et pas assez d’évènements.

Ç’a fait en sorte que je ne me suis pas sentis près de Chikada, je n’avais pas l’impression de vivre à côté de lui, de partager sa vie.

Je vois l’immensité du travail que tu as fait et j’ai aimé consulter les tableaux à la fin du livre, j’ai aimé le lexique, mais dans le roman même, il y a trop d’information pour que je me sente émotionnellement impliqué dans l’histoire.

J’ai aimé le prologue, il y a un sentiment d’inconnu et d’urgence qui m’a fait embarqué dans l’histoire. J’aurais aimé s’il y avait eu plus de scène comme le prologue.

Voilà, comme je disais, si tu veux en parler plus en détail, ça me ferait plaisir, j’aime parler de littérature.

Merci, bonne fin de journée.

Yves

Bonjour Francine, 

J’ai débuté Shinobi, mais je n’ai pas terminé. C’est fascinant. Au début je ne prenais pas de notes, mais j’ai tout recommencé en prenant des notes. Peut-être ma concentration n’était pas à son meilleure et il y a énormément d’informations. Le lexique et les annexes sont indispensables. Bravo! J’ai hâte de terminer pour t’en dire davantage, mais j’apprends beaucoup de choses et j’adore ça. 

J’imagine que tu es déjà dans ton tome 3 ou 4. En tout cas, toute une recherche! Même si tu connais bien le domaine et le Japon. 

Bonne continuation et je vous souhaite une excellente période des fêtes!

Amicalement,

Janick

J’ai ADORÉ ! Tout y est : suspense, action, belles descriptions, excellents dialogues et même un peu de philosophie.

Bravo !  J’ai hâte de lire la suite.  Quand le 2e tome doit-il paraître ?  Tiens-moi informée. 

Sylvie

Bonjour Francine,

J’ai terminé la lecture du premier tome de Shinobi. Un seul mot me vient à l’esprit: FÉLICITATIONS!

Il s’agit là d’un ouvrage ayant nécessité un travail colossal, une recherche considérable. On ne peut que saluer l’investissement intellectuel. J’ai beaucoup apprécié le fait qu’au-delà du roman historique, on a entre les mains un document pédagogique sur la nature profonde des arts martiaux, leurs fondements, leur philosophie.

J’ai particulièrement aimé les passages se référant aux éléments : bois, feu, terre, métal et eau. De même que les explications sur l’invisibilité, les espions ne sont pas nés avec la guerre froide!

Je dois avouer que j’ai trouvé ardu le premier chapitre. Il donne au lecteur une vision détaillée d’une structure extraordinairement hiérarchisée et de l’assujettissement qu’elle engendre. Dans ce contexte où un pet de moustique perturbe, il devient évident que la rébellion de Chikada a l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel limpide d’hiver. Ce chapitre sert de mise en bouche pour raconter l’histoire de ce destin hors du commun. Également, certains traits du caractère nippon contemporain s’ancrent dans ce passé. C’est du moins ce que j’ai pu constater lors de ma visite au Japon en 2018.

J’aimerais souligner le travail remarquable de la maison Fides. Je suis une lectrice compulsive et il n’est pas rare que je note des fautes ou erreurs dans les livres.  Je ne les cherche pas, je les vois, c’est tout. Dans celui-ci, je n’ai vu que deux erreurs. Je pourrai vous les indiquer si vous le souhaitez. Une bonne main d’applaudissement pour Fides donc, car le livre est «beau». 

Encore une fois, BRAVO et vivement le deuxième tome. 

Au plaisir d’assister sous peu à l'une de vos formations (post Covid-19).

Joyeuses Fêtes avec sérénité et santé!

Marie-Claude Leclerc

Salut Francine

J'ai fini de lire ton roman. Je ne suis pas un critique littéraire mais au moins je peux dire que j'ai aimé. 

Ta façon de décrire l'époque féodale me projette sur place comme si j'y étais. La description des techniques de combat est un comme un cours en salle. On voit bien que tu t'y connais comme instructeur. 

Ca m'a aussi donné le gout d'aller sur Internet pour mieux connaitre cette époque. J'ai hate de lire la suite. 

N.B.: Excuse les fautes de français car mon nouveau clavier ne semble pas avoir tous les accents. 

Salutations è Bernard.

René 

Bonsoir Francine,

 

Ton livre est vraiment une réussite totale. Tant au point de vue de l’écriture que du contenu. On y mesure toute ta compétence dans les arts martiaux, de même que la richesse historique du sujet. J’admire ta capacité à te consacrer à ce qui nourrit ta passion. Je ne féliciterai jamais assez le travail de perfection que tu as déployé dans ton roman. 

À suivre…Félicitations!

 

Suzanne.

Bonjour Francine,

 

Je voulais te féliciter pour ton roman Shinobi que j’ai finalement terminé. Vraiment, je suis très admirative de tout le travail de recherche que tu as réalisé. Évidemment, le niveau d’écrire est formidable. Je m’y attendais, mais franchement, l’histoire, je dirais avec un grand H, est passionnante. Riche. Bravo et merci! Tiens-moi au courant de la sortie du tome 2. Je ne peux pas m’arrêter là.

 

Amitié,

 

Janick

Francine

Bonne et heureuse année 2021. Je nous souhaite le deuxième tome de SHINOBI, car je suis restée à mi-chemin de la vie de ce vaillant Fujiwara no Chikada san.

Roman d’apprentissage tellement sage que j’aimerais le faire lire à mon petit fils. Roman historique, oui, tellement savant. J’adore ce type de lecture où l’on apprend l'inattendu. Une nouvelle fleur qui naît à la fin de l’été à notre grand étonnement. Comment ne pas l’accueillir avec grâce et admiration?

Félicitations et grand merci.

Teresa Herrera Sheriff

Shinobi m'a bien plu.

 

Pierre Giguère

Bonjour Francine,

J'ai fini ton livre non pas parce que ça m'a pris du temps pour le lire mais plutôt parce que je lis les livres par ordre d'entrée dans la maison tout simplement. Quelques remarques pour commencer. Tu as eu de la belle publicité dans la Presse et sur une longue période, je t'en félicite.

Autre chose, j'ai été époustouflé par ta culture sur cette époque du Japon et de la Chine et quand on sait que ton mari partage cette passion, vous ne devez pas vous ennuyer, c'est le moins que l'on puisse dire. 

J'ai acheté ce livre parce que c'était toi et j'avais hâte de le lire puisque je t'ai entendu en parler à l'occasion et connaissant ton talent d'écrivaine je savais que ce serait bon.

Ce n'est pas un sujet qui m'intéresse vraiment et j'ai toujours détesté les films de karaté parce qu'habituellement ils sont mal ficelés et toujours exagérés dans le sens que l'on voit les combattants marcher sur les murs et sauter par dessus les maisons, etc, etc...Il y en a cependant un que j'ai vu qui était magnifique ou il y avait une scène qui se passait dans une forêt de bambous. Je ne me souviens pas du titre mais je suis convaincu que tu sais de quel film je parle. Dans ce film, il y avait aussi une certaine exagération mais en lisant ton livre j'ai compris par les enseignements du professeur Ikaï, que le réalisateur avait voulu sublimer les exploits des combattants sans trop en mettre non plus.

À propos de ton livre, comme je te l'ai dit plus haut, on voit que tu connais ton sujet et cela se sent à chaque page. Le sujet est bien amené sans que l'on se lasse et sans que l'action traine, bravo. On imagine facilement les rites et cérémonies de la cour impériale et je suis persuadé que toutes ces traditions sont fondées sur ta connaissance du sujet. Là où je me suis délecté, c'est dans les enseignement du professeur Ikaï face à Chikeda qui est pourtant un guerrier affuté mais qui ne connait le combat qu'au premier degré en fin de compte. J'ai fait de l'escalade durant une quinzaine d'années et si j'avais lu ton livre à cette époque, j'en aurais tiré des renseignements utiles que j'aurais pu appliquer à ma discipline sur la façon de transformer les difficultés en outils, de se concentrer au delà de la fatigue etc p>

La période d'entrainement m'a semblé un  peu longue en nombres de pages mais je dois dire en même temps que cela ne m'a pas ennuyé du tout, bien au contraire, j'y ai pris beaucoup de plaisirs tout au long de ce passage et si l'on considère que ce livre n'est que la moitié de l'aventure, ce n'est pas exagéré du tout et tu as traité toute cette partie du livre avec maestria conjuguant le physique avec le mental, le camouflage, la ruse et les enseignements du maitre de guerres Lao Tsu.

Francine, tu as rédigé un livre merveilleux s'attachant à la profondeur des personnages en me faisant vivre dans un univers qui m'est complètement étranger. J'ai eu énormément de plaisirs à te lire.  Je te félicite de tout ce travail et du résultat final que cela donne. Mille fois bravo et vivement la suite. Je pense que ton livre est appelé à devenir une lecture obligatoire pour tout ceux qui veulent s'adonner aux arts martiaux et qui veulent en acquérir la philosophie. 

Salutation à ton ami et compagnon d'armes.

 

Réal Cloutier

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On peut se procurer SHINOBI La naissance d’un ninja dans les librairies et sur les plateformes de vente en ligne au format papier et numérique.

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